Le chien jaune
Pour ces qui me demandent la raison de l'intitulé de ce blog, voici l'explication en quelques mots :
A l'agro, on me surnomme Boutade depuis que j'ai raconté la fameuse blague du Chien Jaune qu'un guide haut savoyard aime raconter et que j'aime beaucoup également mais qu'aucun de mes mes amis à l'Agros ne trouve drôle. Ils la trouvent même affligeante, c'est vous dire le manque cruel d'humour dont ils font part ! C'est donc en hommage à Jeannot (le guide haut savoyard) et à sa blague ainsi qu'au superbe film de Byambasuren Davaa sur la Mongolie (Le Chien Jaune de Mongolie) qui elle même s'est inspirée d'un conte traditionnel mongol (La Cave du chien jaune), que j'ai choisi d'intituler le blog ainsi.
Le film de Byambasuren Davaa montre bien la période de transition que traversent les éleveurs mongols.
Byambasuren Davaa se penche sur les interrogations, doutes et espoirs que suscite la modernisation chez les éleveurs mongols. Comment les adultes peuvent-ils encore faire confiance, sacraliser le chien abandonné par ceux qui partent pour la ville et qui erre parmi les loups ? Comment les enfants peuvent-ils comprendre la méfiance et les recommandations de leurs parents ? Elle illustre aussi la difficulté des parents à transmettre à la fois à leurs enfants le goût pour la terre, les croyances ancestrales et l’érudition.
A l'agro, on me surnomme Boutade depuis que j'ai raconté la fameuse blague du Chien Jaune qu'un guide haut savoyard aime raconter et que j'aime beaucoup également mais qu'aucun de mes mes amis à l'Agros ne trouve drôle. Ils la trouvent même affligeante, c'est vous dire le manque cruel d'humour dont ils font part ! C'est donc en hommage à Jeannot (le guide haut savoyard) et à sa blague ainsi qu'au superbe film de Byambasuren Davaa sur la Mongolie (Le Chien Jaune de Mongolie) qui elle même s'est inspirée d'un conte traditionnel mongol (La Cave du chien jaune), que j'ai choisi d'intituler le blog ainsi.
Le film de Byambasuren Davaa montre bien la période de transition que traversent les éleveurs mongols.
Byambasuren Davaa se penche sur les interrogations, doutes et espoirs que suscite la modernisation chez les éleveurs mongols. Comment les adultes peuvent-ils encore faire confiance, sacraliser le chien abandonné par ceux qui partent pour la ville et qui erre parmi les loups ? Comment les enfants peuvent-ils comprendre la méfiance et les recommandations de leurs parents ? Elle illustre aussi la difficulté des parents à transmettre à la fois à leurs enfants le goût pour la terre, les croyances ancestrales et l’érudition.